J'ai toujours détesté les coccinelles.
Certes, elles sont adorables, avec leur couleur si vive, leurs petits pois, leur forme sympathique.
Mais non. Mais non.
Pourquoi tant de haine ?
Parce qu'il a fallut que ces bestioles m'adorent, ou plus particulièrement adorent ma chambre, les poussant ainsi à s'y incruster en masse à chaque hiver, guettant chaque moment où ma fenêtre pourrait éventuellement s'ouvrir, s'introduisant, m'envahissant dans mon espace vital, bourdonnant toutes les nuits au dessus de mon lit jusqu'à m'en rendre folle, utilisant tous les moyens possibles et imaginables pour me pousser à bout. Avec succès.
Pourtant, quand l'équipe de Comtesse Sofia m'a proposé de choisir l'une de leur broches à l'occasion du shooting, je n'ai pas hésité une seule seconde, ai écarté tous les petits chatons adorables, et ai jeté mon dévolu sur l'oeuvre Ladybug, alias une belle grosse coccinelle bien rouge, représentante XXL de sa patrie. Masochisme ? Folie ? Je ne sais pas.
Today, I would like to show you another special product from Comtesse Sofia.
Indeed, after taking picture of my look with their amazing shawl (you can see the full post on J.19 - Russian Doll if you missed it !), they offered me to choose one brooch, and to wear it in my outfit.
I immediately set my heart on this little ladybug. I have to say that I usually hate all kinds of insects but this one was just so cute !
Comme vous pouvez le constater, la tenue est à l'identique de celle du précédent article. Si vous l'avez manqué et que vous souhaitez voir le look entier, n'hésitez pas !
En regardant mes derniers posts, j'ai l'impression de passer pour une fille folle de rouge à lèvres. Je n'en met toutefois pratiquement jamais, comme je vous l'ai dit précédemment, je n'ai jamais réussi à trouver LA teinte qui me mettrait en valeur. J'ai bien tenté d'appeler à l'aide la vendeuse du petit magasin Bio où je fais mon shopping maquillage, mais me suis retrouvée avec tout un paquet de choix de couleurs nude, donnant une impression étrange et pas très satisfaisante de "non maquillage".
Pour revenir à la coccinelle, vu comme ça, elle n'a pas l'air si diabolique, non ?
Leçon du jour : Ne jamais se fier aux apparence.
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28 février 2014
20 février 2014
J.19 - Russian Doll.
Petit conseil du jour ?
Ne mangez jamais. Jamais. Jamais d'huîtres à la légère. Et encore moins le jour de votre anniversaire.
Je peux en témoigner.
Non. Que dis-je.
Ma carcasse sans vie, et plus particulièrement mon ventre peuvent en témoigner.
Mais changeons de sujet, parlons mode, parlons glamour, parlons vêtements, parlons foulards, parlons de moi, parlons Comtesse Sofia !
C'est le moment où vous vous dites "Kewaaa ? Elle s'est prise pour une comtesse ?"
Eeh non, enfin si, mais pas dans ce contexte.
Comtesse Sofia n'est pas un de mes nombreux fantasmes de grandeur, mais le nom d'une marque parisienne, qui loin de vouloir me rendre hommage (quoique), a été nommée en l'honneur de Sofia Rostopchine, alias la célèbre Comtesse de Ségur.
L'enseigne a en réalité pour but de refaire vivre cette icône de littérature et d'élégance à travers des foulards dont les motifs rappellent l'enfance russe de l'artiste, et de rendre accessible aux européens ce patrimoine, cette tradition dont les pays de l'Est ont le secret.
On peut parler de la laine 100% russe de fabrication quasi-artisanale, des ornements, et plus particulièrement des artistes scandinaves qui vouent leur entière existence à leur conception, de la finition française de ces châles, appelés communément Platki dans leur pays d'origine.
Et maintenant que le sujet est lancé, il ne reste plus qu'à m'y introduire, et me voici, me voilà :
Très récemment, Comtesse Sofia m'a contacté, moi, Sofia, petite française d'origine russe, depuis toujours adepte incontrôlée des platkis rapportés de Moscou par ma grand grand-mère, pour porter l'oeuvre Best-Seller Shorcut To Carmine Street lors d'un shooting sur Paris.
Fou ce que le hasard fait bien les choses, non ?
J'ai ainsi tenté tant bien que mal de mettre en valeur ce petit bijoux avec quelques pièces de ma garde robe que je vous ai, pour la plupart déjà montré, une chemise de soie et de dentelle, des talons, le noeunoeud (qui ne quitte plus ma chevelure depuis son acquisition), et, petite nouveauté avec une jupe en cuir American Apparel, que j'avais déjà repéré depuis un certain temps.
Inutile de vous dire que je suis fan, en plus d'être magnifique, ce qui semble être un bout de tissu tout fin m'a permis de survivre à une séance photo sous la pluie, dans un froid plus que glacial, sans manteau. Bon. J'ai passé le reste de mon après-midi devant ma cheminée avec un bol de thé noir brûlant, mais tout de même.
Je pensais émettre une brève opinion par rapport à l’esthétisme du foulard, mais honnêtement, les clichés parlent d'eux mêmes, ces couleurs qui donnent chaud au cœur, ces détails (dessinés par l'artiste russe Irina Dadonova) fins et gracieux, tout.
Pour terminer sur cette première partie du shoot (car oui, il y en aura une deuxième, avec un tout autre type de produit proposé par l'enseigne ! Restez à l'écoute..) je souhaitais adresser un grand remerciement au photographe François-xavier Rousselot et à Hélène, qui m'ont permis de vivre cette expérience inoubliable (et ingénieusement intercalé entre deux petits expressos bien mérités).
Merci encore.
Ne mangez jamais. Jamais. Jamais d'huîtres à la légère. Et encore moins le jour de votre anniversaire.
Je peux en témoigner.
Non. Que dis-je.
Ma carcasse sans vie, et plus particulièrement mon ventre peuvent en témoigner.
Mais changeons de sujet, parlons mode, parlons glamour, parlons vêtements, parlons foulards, parlons de moi, parlons Comtesse Sofia !
C'est le moment où vous vous dites "Kewaaa ? Elle s'est prise pour une comtesse ?"
Eeh non, enfin si, mais pas dans ce contexte.
Comtesse Sofia n'est pas un de mes nombreux fantasmes de grandeur, mais le nom d'une marque parisienne, qui loin de vouloir me rendre hommage (quoique), a été nommée en l'honneur de Sofia Rostopchine, alias la célèbre Comtesse de Ségur.
L'enseigne a en réalité pour but de refaire vivre cette icône de littérature et d'élégance à travers des foulards dont les motifs rappellent l'enfance russe de l'artiste, et de rendre accessible aux européens ce patrimoine, cette tradition dont les pays de l'Est ont le secret.
On peut parler de la laine 100% russe de fabrication quasi-artisanale, des ornements, et plus particulièrement des artistes scandinaves qui vouent leur entière existence à leur conception, de la finition française de ces châles, appelés communément Platki dans leur pays d'origine.
Et maintenant que le sujet est lancé, il ne reste plus qu'à m'y introduire, et me voici, me voilà :
Très récemment, Comtesse Sofia m'a contacté, moi, Sofia, petite française d'origine russe, depuis toujours adepte incontrôlée des platkis rapportés de Moscou par ma grand grand-mère, pour porter l'oeuvre Best-Seller Shorcut To Carmine Street lors d'un shooting sur Paris.
Fou ce que le hasard fait bien les choses, non ?
J'ai ainsi tenté tant bien que mal de mettre en valeur ce petit bijoux avec quelques pièces de ma garde robe que je vous ai, pour la plupart déjà montré, une chemise de soie et de dentelle, des talons, le noeunoeud (qui ne quitte plus ma chevelure depuis son acquisition), et, petite nouveauté avec une jupe en cuir American Apparel, que j'avais déjà repéré depuis un certain temps.
Inutile de vous dire que je suis fan, en plus d'être magnifique, ce qui semble être un bout de tissu tout fin m'a permis de survivre à une séance photo sous la pluie, dans un froid plus que glacial, sans manteau. Bon. J'ai passé le reste de mon après-midi devant ma cheminée avec un bol de thé noir brûlant, mais tout de même.
Je pensais émettre une brève opinion par rapport à l’esthétisme du foulard, mais honnêtement, les clichés parlent d'eux mêmes, ces couleurs qui donnent chaud au cœur, ces détails (dessinés par l'artiste russe Irina Dadonova) fins et gracieux, tout.
Pour terminer sur cette première partie du shoot (car oui, il y en aura une deuxième, avec un tout autre type de produit proposé par l'enseigne ! Restez à l'écoute..) je souhaitais adresser un grand remerciement au photographe François-xavier Rousselot et à Hélène, qui m'ont permis de vivre cette expérience inoubliable (et ingénieusement intercalé entre deux petits expressos bien mérités).
Merci encore.
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